Résumé
David André porte un regard aiguisé sur les mots. Ce bastognard s'emploie à observer nos secrètes morosités du temps qui passe. Le brin de mélancolie s'efface sous l'effet d'une métrique impeccable : 365 poèmes en prose de 17 syllabes (5-7-5). Ici, il n'est pas question de se laisser emporter par la ronde des saisons ou alors, uniquement avec une certaine dérision de l'esprit et une remarquable maitrise de la langue.
